sommaire test pressing compact discs cartes programmes interviews collectors
biographie k7 audio paroles publicités télévision divers liens
discographie cartouches 8 partitions photos affiches audio livre d'or
45 tours anthologie 1 magazines scopitones hit-parade vidéo blog
33 tours anthologie 2 articles concerts livres tournées contact

Richard Anthony
Olympia de Paris, 17 février 2012

Remerciements à François VANDENBROUCKE pour le reportage et la mise à disposition des photos
Copie et publication non autorisées sans son accord.

Le 17 février 2012, le nom de Richard ANTHONY s’inscrit en lettres capitales rouge vif sur la façade de l’Olympia, la salle est comble
et sur le trottoir quelques personnes n’ayant pu obtenir de places tentent vainement de racheter les précieux sésames.

La première partie du spectacle incombe à Bobby SOLO, l’Elvis PRESLEY Italien, accompagné de cinq musiciens. Il chante quelques rocks et ses succès personnels tels que Una lacrima sul viso. La salle est enthousiaste, chauffée à blanc pour accueillir la vedette du jour.
Après un court entracte, Richard est annoncé: « La légende des années 60 dans la salle de légende, Richard ANTHONY ». Vêtu d’un élégant costume sombre satiné, Richard fait son entrée en scène d’une démarche très lente, comme s’il voulait savourer ce moment qu’il n’a plus connu depuis la soirée de ses dix ans dans la chanson, à la fin de l’année 1967.

L’orchestre de Richard GARDET, composé de dix musiciens et quatre choristes féminines, accompagne Richard ANTHONY qui commence son tour de chant par Sunny et Ce monde sur des orchestrations vraiment inédites qui surprennent les fans.
Le son est parfait et la soirée est lancée. Richard enchaîne par un pot-pourri (Nouvelle vague, Donne moi ma chance, C’est ma fête, Tchin-Tchin, A présent tu peux t’en aller) après s’être justifié de ne pas pouvoir chanter toutes ses chansons en entier vu le nombre élevé de ses succès. Il utilise un prompteur qui lui souffle la liste des chansons à interpréter,
liste inspirée notamment par les demandes des fans lancées sur internet.
Il parle assez bien entre les chansons et raconte des anecdotes ayant émaillé sa carrière, notamment ses rencontres avec Joaquin RODRIGO, le compositeur du Concert d’Aranjuez, ou Julio IGLESIAS, l’auteur d’Embrasse moi. Il affirme avoir perdu cinquante kilos pour imiter François HOLLANDE et lâchera plus tard une autre vanne sur Nicolas SARKOZY, histoire de faire bonne mesure.
Curieusement, les chansons les plus rythmées sont mieux interprétées que les chansons lentes sur lesquelles la voix manque parfois un peu d’assurance et où l’orchestre est souvent un rien trop présent. Pour pouvoir souffler quelques minutes, Richard laisse la place à Jeane MANSON qui enchante également le public avec ses plus grands succès.
Après cet intermède, Richard reprend avec J’entends siffler le train et rend un vibrant hommage à Gilbert BECAUD en interprétant Le jour où la pluie viendra. Il termine triomphalement sa prestation par un pot-pourri de twists (La leçon de twist, Let’s twist again, J’irai twister le blues) en guise de rappel sous une pluie de languettes dorées.
Jeane MANSON vient rejoindre Richard pour ce final endiablé, toute la salle est debout pour applaudir le chanteur qui semble profondément heureux et ému, drapé dans le rideau rouge de l’Olympia au moment de quitter la scène.
Immense déception toutefois pour les fans : alors que le concert a été intégralement filmé et enregistré,
aucun DVD et aucun CD ne seront publiés en souvenir de cette soirée mémorable.

(Note : le DVD sera finalement publié en 2019)
Chansons interprétées : Sunny, Ce monde, Pot-pourri (Nouvelle vague, Donne moi ma chance, C’est ma fête, Tchin-Tchin, A présent tu peux t’en aller), Barrière des générations, J’irai pleurer sous la pluie, Non stop, Aranjuez mon amour, Amoureux de ma femme, J’entends siffler le train, La terre promise, Le jour où la pluie viendra, Donne moi ma chance, J’irai, Embrasse moi, le Sirop Typhon, A présent tu peux t’en aller, Pot pourri de twists (La leçon de twist, Let’s twist again, J’irai twister le blues).

François VANDENBROUCKE

Après une longue attente le DVD Olympia 2012 voit enfin le jour en 2019

Le dernier tour de piste du "Père tranquille du Twist", filmé à l'Olympia en février 2012.
Sunny - Ce monde - Donne-moi ma chance / C'est ma fête / Tchin Tchin / A présent tu peux t'en aller - La barrière des générations - J'irai pleurer sous la pluie - Non stop, j'ai décidé de vivre - Concerto d'Aranjuez - Amoureux de ma femme - J'entends siffler le train - La terre promise - Le jour où la pluie viendra - Donne-moi ma chance - J'irai - Embrasse-moi - Le sirop typhon - A présent tu peux t'en aller - Twist And Twist / Let's Twist Again / J'irai twister le blues - Concerto d'Aranjuez - Donne-moi ma chance / Tchin Tchin / A présent du peux t'en aller

sommaire test pressing compact discs cartes programmes interviews collectors
biographie k7 audio paroles publicités télévision divers liens
discographie cartouches 8 partitions photos affiches audio livre d'or
45 tours anthologie 1 magazines scopitones hit-parade vidéo blog
33 tours anthologie 2 articles concerts livres tournées contact