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            | Détail sur les enregistrements, chronologie, premiers 
      concerts Le premier disque de 
        Richard enregistré à la rentrée 1958 est un simple avec
        "Tu m'étais destinée" et "Peggy sue"Malgré l'échec 
        commercial du disque, richard tente un deuxième enregistrement qu'il est 
        obligé de faire en Belgique suite à une grève des musiciens français (!) 
        ; il y enregistre :
        "ça tourne rond" et "dis à laura"
 
 On peut donc remarquer que 
        jusque là il n'était question que de 45 tours à 2 titres, ont-ils été 
        publiés sous cette forme dans un premier temps ? s'agissait-il juste de 
        disques de promo, de jukebox ou de test destinés aux radios ? y a-t-il eu adjonction 
        d'autres titres seulement dans un deuxième temps pour en faire des EP ? 
        (car nous connaissons tous les premiers disques de Richard sous forme de 
        EP à 4 titres) Richard n'en parle pas dans sa biographie.
 
 Le troisième 45 
        tours de Richard est un super 45 tours à 4 titres, qui lui apporte enfin la 
        célébrité : "Nouvelle vague". Ce titre était pourtant celui des quatre 
        auquel lui et ses musiciens croyaient le moins.
 Première séance de dédicaces pour l'émission jukebox d'Europe n°1 qui a 
        lieu à Rouen en novembre 1959
 1960 : première 
        tournée avec Dalida (un mois) : première halte à Boulogne sur mer. La presse les met en rivalité et accuse Richard de faire du tort à 
        Dalida
 Enregistrement de "Let's 
        twist again" en anglais dont le succès dépasse celui de la version 
        originale de Chubby Checker (notamment en amérique du sud grace au 
      réseau de diffusion de Pathé qui, délibérément, ne diffuse que la version 
      de Richard |  
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            | Richard et Johnny En 1960, arrivée de Johnny 
        Hallyday dans le monde de la chanson, Richard le rencontre pour la 
        première fois pendant le tournage du scopitone "itsy bitsy petit bikini" 
        (réalisé par Claude Lelouch)
 La presse commence à 
        opposer Richard et Johnny notamment lors du "festival rock" du 
        Palais 
        des Sports en 1961. En réalité, et malgré tout ce que la presse faisait 
        croire, Richard et Johnny sont vite devenus de bon amis. Et cette amitié 
        a traversé des décennies.
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            | Abbey Road La maison de disques de Richard lui accordait une telle confiance dans 
        les années 60 qu'elle lui laissait toute  liberté pour le choix de 
        ses chansons, de ses musiciens et de ses arrangeurs. Mieux encore : elle 
        avait loué à Londres, à l'année, pour Richard, une suite royale donnant sur Hyde 
        Park au dernier étage du Hilton avec une chaine hifi et sur le parking, 
        une Ferrari.
 Richard passait donc constamment sa vie entre Paris et Londres.
 Dès 1961,  il enregistrait déjà aux studios d'Abbey Road, avant 
        même l'arrivée  des Beatles.
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            | Echec
  Le plus grand regret musical de Richard reste l'échec du titre 
        "Séverine" (son adaptation de McArthur Park) qui, malgré toutes les 
        précautions prises, a été totalement éclipsé par le titre "Les ballons" 
        figurant sur le même disque. |  
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            | Voitures iI s'achète sa première Ferrari en 1964
 puis une Mercedes au début des années 70
 et en utilisa d'innombrables autres pendant sa carrière
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            | AvionsAu début de sa carrière Richard faisait tous ses déplacements en 
        voiture. Un jour, grâce à un ami, il a la révélation : l'avion, qui se 
        révèle le moyen idéal pour se déplacer lors des tournées, gagner du 
        temps et davantage de liberté. Il choisit un modèle Comanche de chez Piper, il engage 
        d'abord un pilote, apprend peu à peu à la conduite à ses côtés puis 
        finit par piloter lui même ses musiciens dans son propre avion, il passe 
        d'un 4 places à un 5 places (Piper Aztec), puis 6, puis 11 places (Beechcraft 
        Queen Air).
 Il possède également un Jet Lear à une certaine période.
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            | DomicilesA 18 ans, son père lui achète un petit 2 pièces à Neuilly, Richard n'est 
        pas encore célèbre, il vend des réfrigérateurs encastrables.
 Au début de sa carrière, il possède une maison à Grimaud près de St Tropez.
 Avec les royalties de "J'entends siffler le train" qui font sa fortune, 
        il achète deux maisons :
 un ancien prieuré à Levis Saint-Nom (région 
        parisienne) entouré de 4,5 hectares de terrain
 et il fait construire une 
        maison à Gassin (près de St Tropez).
 Il possède un chalet à Crans sur Sierre.
 Pendant l'été 1967, il fait construire une maison à Marbella (espagne du 
        sud) (10 chambres, un sauna, une piscine et un terrain de 6 hectares) et 
        il ira même jusqu'à faire construire un hôtel à la Jamaïque...
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            | Musiciens 
        (parmi les plus fidèles) :
 en studio :
 guitare :      Sylvano Santorio
 batterie :     Pierre-Alain Dahan
 basse :        Antonio Rubio
 pianiste :     Matt Camison
 
 directeur artistique : Jacques Poisson
 sur scèneguitare 1 :   Sylvano Santorio
 guitare 2 :   Jean-Pierre Martin
 batterie :     Carlo Bencini
 basse :        Popoff
 pour le gala des 
        étoiles 1962 :guitare 1 :   Sylvano Santorio
 guitare 2 :   Jean-Pierre Martin
 batterie :     Franco Manzecchi
 basse :       Ricardo Galeazzi
 
 pour le gala des étoiles 1964 :
 guitare 1 :   Sylvano Santorio
 guitare 2 :   Jean-Pierre Martin
 batterie :     Georges Lalue
 basse :        Francis Darizcuren
 orgue :        Claude Cazenave
 Claude Bécue, qui a 
        été le secrétaire de Richard pendant 10 ans, a créé le groupe "Martin Circus" au début des années 70. |  
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            | Allusions, 
        citations musicales Quelques chansons des 
        années 60 citent Richard dans leurs paroles :- Tiny Yong dans "Un seul garçon sur la terre"
 - Henri Salvador dans "Mister Boom Boom"
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            | Titres en public : 
         
        pas un seul disponible ! 
 Richard est un des rares 
        artistes à n'avoir jamais publié de disque en public.
 Pourtant les documents d'archives ne manquent pas, ses Olympia et autres 
        Musicorama ont tous été enregistrés. On peut  supposer que c'est  la 
        qualité technique (et de l'interprétation ?) qui ne satisfaisait pas Richard 
        et que pour cette raison il s'est toujours opposé à leur publication.
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            | Textes signés Richard 
        Richard rédige les textes de présentation au verso 
        des pochettes de disques suivantes :
 - LA CLAN DE SILVANO (45 tours "Liverpool") 1965
 Référence : Columbia / EMI ESRF1668
 - JEAN-LOUIS BLEZE (45 tours "Chansons comiques, Histoires drôles") 1962
 Référence : Windsor Cernay  WIN 2020
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            | Les passions de Richard 
 Les armes à feu
 Les avions (il pilote)
 Les hors-bord
 Les belles voitures
 Les demeures de luxe
 Le matériel hi-fi
 Il sait jouer du saxo, de la batterie, et un peu de guitare
 Il était grand fumeur dans les années 60, comme en témoignent les 
        photos
 Il a été surnommé "Le Tino Rossi du twist"
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