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Richard Anthony
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Détail du contenu des magazines

Nom de la revue
et date de parution
  Couverture Nom de l'article
et nombre de pages
Article
reproduit
Salut Les Copains 
n°3
d'octobre 1962
Joey Dee,
Corinne Marchand
Richard Anthony
A Saint Tropez avec Richard Anthony
13 pages (dont poster central double page couleurs)
extraits
photos
Salut Les Copains
n°10
de mai 1963
 
Johnny et Sylvie Il sait où il va, Richard, et il y arrive
10 pages (dont poster central double page couleurs) + suite sur 2 pages en fin de magazine
extraits
photos
Salut Les Copains
n°31 de février 1965
 
Françoise Hardy Le match Eddy Mitchell - Richard Anthony
2 pages + suite sur 2 demi-pages
non
Salut Les Copains
n°35 de juin 1965
 
Adamo 101 secrets de Richard Anthony
2 pages + suite sur trois tiers de pages
oui
Salut Les Copains
n°61 de août 1967
 
Les Beatles Bons baisers de la Jamaïque par Richard
8 pages
non
Paris Match
n°802 du 22 août 1964
    4 pages non
Photo
n°1 de juillet août 1967
 
Catherine Deneuve Chez Richard Anthony la sono est un outil de travail oui

extraits
photos

Sonorama
n°24 novembre 1960
 
Annie Girardot Jacqueline Joubert  présente Richard Anthony extraits
Platine
n°7 d'août septembre 93
 
    2 pages + 1 pub pleine page pour le coffret de l'intégrale 1958-1970 non

Coupures de presse

Music-Hall n° 51 de mai 1959: " JAM-SESSION : 3 AGITES "



Salut Les Copains  n°35 de juin 1965 : " 101 SECRETS DE RICHARD ANTHONY "

Il a rencontré Michèle, sa future femme, en classe, à seize ans. Le directeur a voulu les exclure car Richard s'était battu avec un voisin qui, assis derrière Michèle, caressait ses cheveux.
Henri Salvador est la personne qui le fait le plus rire.
Quand il sort le soir, il préfère ne pas être reconnu.
Il a été obligé d'acheter un camion pour transporter ses musiciens. On ne voulait plus les assurer, ils avaient trop d'accidents de voiture.
Les odeurs qu'il préfère sont celles qui lui rappellent des souvenirs.
Il adore marcher pieds nus.
Il regrette de ne pas voir plus souvent ses enfants : il passe 300 jours par an hors de chez lui.
Au cinéma, il est très bon public et pleure souvent.
Il n'a jamais dansé le tango, ni la valse.
Il s'habille toujours en sombre et, en tout cas, ne porte jamais de vert.
C'est Sylvano, son chef d'orchestre, qui lui coupe les cheveux.
Il n'a jamais d'extinction de voix, sauf quand le moral ne va pas.
Pour lui, Johnny est le meilleur sur scène, car le plus sincère.
« Malgré les apparences, je ne suis pas snob », fait-il remarquer.
Depuis que Sylvano s'occupe de lui en Italie, il a été classé numéro 1 pour la troisième fois dans ce pays avec « Les garçons pleurent ».
Il ne déjeune pas mais fait un dîner pantagruélique.
A une époque où il ne chantait pas encore, un barman de Saint-Tropez l'a pris pour Paul Anka. Il ne l'a pas détrompé.
Il écrit les paroles de ses chansons la nuit.
La vedette de sa première tournée en 1961, était Dalida.
Il ne craint pas la mort et ne croit pas à l'au-delà.
Dans sa maison de Lévis-Saint-Nom, Il a transformé le garage en studio d'enregistrement.
Le disque qui l’amuse le plus : les blagues téléphoniques de Francis Blanche.
A neuf ans, furieux d'avoir subi une piqûre, il s'est enfui à bord d'un bateau volé.
Il ne peut s'empêcher de fumer sans arrêt des américaines à bout filtre.
Il a acheté récemment la collection complète de Paris Match depuis le numéro 1.
Les pique-assiettes et tous les gens qui prennent ses gestes de générosité pour de la faiblesse l'exaspèrent.
Son hobby : faire des photos avec un appareil polaroïd dont les films se développent instantanément.
Il adore les frites servies dans les baraques qui jalonnent les routes belges.
Il est très soigneux : même Michèle, à qui il prête pourtant sa Ferrari, n'a pas le droit de toucher à son matériel musical.
Pour sa première apparition en public, il était soliste de la chorale de son école.
Il déteste se voir à la télévision et se trouve laid en photo.
Son grand plaisir : enseigner aux habitués des boîtes de nuit les nouvelles danses qu'il a apprises à Londres.
Lorsqu'il se produit à Lens, Il donne le meilleur de lui-même : Il n'a pas oublié qu'il y a deux ans, dans cette ville en pleine crise (en raison de la grève), la salle était quand même comble.
L'humour qu'il préfère : l'humour anglais.
Etudiant, il passait ses jeudis au Vieux Colombier (dont le patron était... Claude Wolf, le mari de Petula Clark) à jouer du saxo-alto.
Les deux livres qui l’ont le plus « marqué » : « le Grand Meaulnes » d'Alain Fournier et « The Carpethaggers » de Robbins.
Il trouve la côte atlantique, sous la grisaille, très romantique.
Son meilleur souvenir professionnel : le succès de « J'entends siffler le train », auquel personne ne croyait chez Pathé Marconi.
Les cadeaux qui lui font le plus plaisir : ceux d'admirateurs anonymes. Il les stocke dans une valise spéciale.
Du « you » anglais il a tiré l'habitude de tutoyer les gens.
Il voudrait rencontrer le milliardaire Paul Getty.
A Bassi Messaoud, au Sahara, il s'est jeté tout habillé dans une piscine après son tour de chant.
Le site de Paris qu'il préfère : l'île Saint Louis, le soir.
« Je crois qu'il vaut mieux éviter de m'adresser la parole pendant la demi-heure qui suit mon réveil » reconnaît-il.
La tournée la plus joyeuse qu'il ait faite : celle avec Sylvie l'an dernier.
Après avoir roulé à 160 km/h, il a perdu la roue avant de sa première Thunderbird... à l’arrêt, dans Béthune.
Sa spécialité culinaire : le riz à l'orientale.
Il souhaiterait avoir un troisième enfant.
Il a tiré une balle dans la caisse d'un homme qui avait giflé Michèle. Il le referait encore.
Billy Wilder, Vadim et Cacoyannis sont ses metteurs en scène favoris.
Petit, il rêvait d'être important et riche.
Il est passé aux actualités à onze ans : le maréchal Montgomery lui a serré la main parce qu'il était le meilleur élève en préparation militaire d'Angleterre. Aujourd'hui, il est un pacifiste fervent.
Sa ville préférée lorsqu'il n'est pas chez lui : Londres.
Il hait la tauromachie, il jamais tué un animal (hormis les moustiques).
En tournée, il emmène toujours une télévision portative.
Il reproche aux meubles modernes d'être froids.
Chaque fois que Michèle vient l'entendre chanter, il devient excessivement nerveux.
Il sait reconnaître ses torts très vite.
Il est très fidèle à ses amis, sa maison de disques, son tailleur, ses musiciens et à... Michèle.
Parmi ses meilleures plaisanteries : avoir placé tous les meubles de sa chambre dans l'ascenseur d'un hôtel peu accueillant.
Il ne sait pas lire une note de musique.
Il a acheté, l'an dernier, deux cochons d'Inde. Ils sont aujourd'hui quarante-sept.
Le surnom qu'il donne à Michèle : « Tarte ».
Il ne peut pas dormir sans boules Quiès.
Son premier cachet de chanteur : 600 F pour trois mois.
Il ne quitte jamais la gourmette que Michèle lui a offerte pour ses seize ans.
Richard a une soeur de douze ans en pension à Cannes : Manuella.
Il est incapable de distinguer une laitue d'une ortie.
Depuis qu'il pilote un avion, la voiture ne l'intéresse plus.
« Je ne fais pas de régime », précise-t-il.
C'est un grand amateur de risques : il est rentré de Genève en volant à ras du sol entre deux couches de brouillard.
Il n'entre jamais sur scène sans avoir répété une heure durant.
Il choisit tout pour ses musiciens, de leurs instruments à leurs costumes.
Il a passé récemment une nuit au poste de police pour avoir jeté des pétards sous un camion.
Il taquine sa femme pour la rendre jalouse, alors qu'elle ne l'est pas naturellement.
Les héros de cinéma qui l'impressionnent sont les « balaises » tels que John Wayne ou Sean Connery.
Il peut rester des heures à regarder la mer.
Il se rase électriquement, deux fois par jour.
La chanson qu'il fredonne en ce moment « Johnny lui dit adieu ».
Dans son travail il est entouré de « Scorpion » et ses amis sont en majorité des « Vierge ».
Quand il a le cafard, il fait le point dans la solitude.
Il a réussi son deuxième baccalauréat avec « l’extrême indulgence du jury »
Séduire lui donne confiance.
Il préfère les blondes aux yeux clairs.
Il a enregistre en français, en anglais, en allemand, en italien, en espagnol.
Bien que croyant en un dieu, il déteste la religion.
Tomber malade le rend furieux. Il refuse de se soigner.
Il hésite longuement toutes les fois qu'il s'agit d'acheter quelque chose.
Il joue de la batterie en coulisses pendant la première partie des spectacles dont il est la vedette.
Il déteste les jeux quels qu'ils soient.
Sa manie : se frotter les yeux.
Il vient d'enregistrer un 30 cm en anglais : il comporte toutes ses chansons favorites.
« Rien ne me va plus mal que les chapeaux », avoue-t-il.
Il déteste les harengs : ils lui rappellent la pension.
C'est Michèle qui dépouille son courrier. Elle-même reçoit de nombreuses lettres.
Lorsqu'il a quitté la représentation des réfrigérateurs pour la chanson, il ne pouvait s'offrir que des spaghetti comme repas.
Aux Etats-Unis, on l'appelait, en classe, «Shorty» (tout petit). Quand il a grandi, on l'a surnommé «Frenchy»
Il évite systématiquement les mondanités.
Son symbole favori : le dollar.
Le premier cadeau qu'il se soit offert, dès qu’il a commencé à bien gagner sa vie : une carabine 22 long rifle.
Parmi les sacrifices qu'il fait pour son métier : dévoiler les 101 secrets de sa vie privée.
 


 

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